The first EP of Murgida extends in singularity. First of all the singularity of a profile, that of a tireless jack-of-all-trades that you have to get close to intercept. Actor, stuntman, multi-instrumentalist, this true chameleon of music seems to have had a thousand lives, a thousand identities.

His first hybrid songs, between rap, pop and lo-fi productions, show a taste for travel, for the unknown, like stories that are told somewhere between Paris and Italy, his roots for which one guesses a certain attachment.

If the coherence is due to the omnipresence of this nonchalant flow, sometimes almost disdainful when the atmosphere lends itself to it, he does not hesitate to expose himself by tackling sensitive subjects, in which he deconstructs his image of Italian lover to leave room for a more poetic and vulnerable rap.

 

Le premier EP de Murgida s’étend dans la singularité. La singularité d’un profil déjà, celui d’un infatigable touche à tout qu’il faut s’ac- crocher pour intercepter. Acteur, cascadeur, multi-instrumentiste, ce véritable caméléon de la musique semble avoir eu mille vies, mille identités.

Ses premières chansons hybrides, entre rap, pop et productions lo-fi, laissent transparaître en creux, ce goût du voyage, de l’inconnu, comme des histoires qui se racontent quelque part entre Paris et l’Italie, ses racines pour lesquelles on devine un attachement certain.

Niveau textes, on y est aussi: Si la cohérence tient à l’omniprésence de ce flow nonchalant, parfois presque dédaigneux quand l’ambiance s’y prête, il n’hésite pas à se mettre à nu en abordant des sujets sensibles, dans lesquels il déconstruit son image de lover italien pour laisser place à un rap plus poétique et plus vulnérable.